Dans un document, consulté vendredi par l’AFP, le syndicat présente une synthèse de 58 expertises menées par 20 cabinets agréés à la demande des Comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT), suite à des réorganisations ou des suicides (pour 11 d’entre elles), entre décembre 2007 et avril 2014.
Il en ressort que « les organisations de travail sont pathogènes », que les « réorganisations successives accentuent » cet aspect pathogène, et que « la prévention est déficiente », la direction de l’entreprise étant « enferrée dans le déni », affirme le syndicat qui a alerté la Direction générale du travail (DGT) sur la situation.
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Photo : Patrick Janicek cc