Les premiers articles publiés mettent en lumière le phénomène des "administrateurs fantoches", qui prêtent leur nom pour donner un semblant de réalité aux sociétés écran qui permettent à des individus et à des sociétés d’abriter leurs profits des États et du fisc, l’amour des oligarques russes pour les juridictions secrètes britanniques, les liens entre les paradis fiscaux et le monde de l’espionnage, ou encore les relations entre le monde offshore et la spéculation immobilière à Londres.
La page spéciale du Guardian est ici, celle de l’ICOJ ici.
On sait qu’une majorité des principaux paradis fiscaux de la planète sont des territoires sous juridiction britannique, depuis Jersey jusqu’aux Îles Vierges.
Olivier Petitjean
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Photo : Finnish Eye, cc