Au programme, durant ces quelques semaines :
- De nouvelles enquêtes, comme celle parue cette semaine sur les jeux d’influence des industriels autour des « minerais critiques »
- Le lancement de notre nouveau podcast « Goliaths » avec Radio Parleur la semaine prochaine.
- Mais aussi plusieurs occasions de vous donner la parole et d’échanger avec vous.
Pourquoi faisons-nous appel au soutien financier de nos lecteurs et lectrices ?
Au fond, nous sommes trois Observatoires en un seul.
Nous sommes d’abord et avant tout un média – c’est notre ADN. Notre mission est d’enquêter sur les pouvoirs économiques et politiques, révéler les abus, aller examiner les pratiques réelles derrière les beaux discours – et ensuite de raconter, expliquer, faire savoir.
Comme nous voulons rendre l’information disponible au plus grand nombre, tous nos articles sont accessibles librement, sans abonnement. Et comme nous voulons rester indépendants et cohérents, nous ne proposons pas de contenus publicitaires. Nous ne touchons pas non plus de subventions publiques. C’est pourquoi le soutien de nos lecteurs et lectrices est essentiel.
L’Observatoire des multinationales joue aussi (et de plus en plus) un rôle de centre de ressources. Nous proposons des formations, nous collectons et publions des données, notamment sur le CAC40, réutilisables par tous, nous répondons dans la mesure de nos moyens aux sollicitations de plus en plus nombreuses qui nous arrivent de la part de journalistes, de militants, d’élus, de simples citoyens.
Ces services que nous apportons sont parfois rémunérés, par ceux et celles qui en ont les moyens. Mais par principe nous ne voulons pas que le manque de ressources financières soit un obstacle pour les autres. Là aussi, nous demandons à nos lecteurs et lectrices qui le peuvent de nous aider à les aider.
Enfin, notre Observatoire est aussi une sorte de « think tank » puisque nous essayons d’animer le débat démocratique, d’essaimer des idées, de mettre en valeur des alternatives et proposer des pistes politiques, comme nous l’avons fait avec notre initiative « Allô Bercy » sur les aides publiques aux entreprises et plus récemment sur la question des « portes tournantes » public-privé.
La grande majorité des think tanks sont financés par des subventions publiques et des grandes entreprises – ce qui soulève de nombreuses questions, comme nous l’avions raconté il y a quelques mois. Pas nous. Nous bénéficions seulement du soutien d’une poignée de fondations engagées, peu nombreuses, très sollicitées et beaucoup plus petites que celles qui financent la justification de l’ordre établi.
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Parce que le débat démocratique mérite mieux que la com’ du CAC 40.
Faites un donPour tout savoir sur notre Observatoire, son organisation, ses finances, ses publications à venir, vous pouvez consulter notre rapport annuel d’activités 2022/2023. Et n’hésitez pas à nous contacter en cas de questions.